Parfois, je vais si loin à pied que je n’ai plus la force de revenir.
Il faut que je sois sur la ligne du tramway. Je monte alors dans le premier qui passe, où je resterai debout, dans une voiture qui se vide au fur et à mesure qu’on grimpe vers les quartiers nord.
Là-haut, c’est la nuit, dans une rue déserte où les colombes roucoulent dans les arbres.
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